mercredi 19 juin 2013

Alain De Clerck



Originaire de Liège, Alain de Clerck est un Européen convaincu. Sculpteur autodidacte, il se définit comme un artiste In Cité. C’est d’ailleurs au contact du monde et de la vie qu’il trouve l’inspiration de ces créations. A. de Clerck  inscrit dans l’histoire de l’art contemporain une œuvre engagée et participatives. Comme nous pouvons le constater à travers ces œuvres, ce plasticien traite principalement de sujet tels les conflits de religions, l’écologie, les rapports inter-sociaux, … Alain de Clerck ne garde pas ces œuvres exposée dans des lieux tels des galeries ; il préfère, par exemple, les placés sur des places publiques tel le Rond-Point Schumann.. Dans ces endroits forts fréquentés, il prend évidemment le contexte général en compte, mais pas seulement. Ce sculpteur prend en compte les paramètres du monde afin de créer une œuvre pertinente. Selon lui, le monde est une matière à sculpté et l’art contemporain permet de changer celui-ci. Les sculptures sont là pour nous faire réfléchir et introduire un jugement. Elles nous permettent de remettre en question notre société d’hyper –consommation.  L’auteur caractérise sont travail de naïf et impertinent, il tente de sensibilisé un plus grand nombre à la culture et d’enrichir la collectivité grâce par exemple a son implication dans l’ASBL space. Grâce au projet de cette ASBL, différente sculptures mobiles sont implantées dans les villes Européennes.  Génératrices de culture, ces œuvres sont placées de manière permanente dans un espace public de grand passage. Elles peuvent être activées par des citoyens à l’aide d’un horodateur culturel. Nous pouvons d’ailleurs observer une sculpture de M. de Clerck en région de Liège et plus précisément en féronstrée. . Dans le cas de l’œuvre d’Alain de Clerck, lorsque vous introduisez la pièce, une flamme sort au bout de l’arc de méta l. Les œuvres les plus connues de l’auteur sont la roue de feu, la porte de la paix, eve 171 , drapeau pour l’élargissement de l’Europe et enfin, recognise Palestine.

Si nous prenons l’exemple de la roue de feu, il s’agit d’une  sculpture mêlant métal et feu. Elle est régulièrement exposée lors de manifestations culturelles telles que les festivals de musique de Dour ou Tomorrowland à Anvers. C’est avec cette sculpture que l’artiste a d’ailleurs obtenus le prix de la Jeune sculpture de la Communauté française de Belgique en 1997.

Reconnu par le public dés son premier projet de sculpture, Alain de Clerck est entré dans me monde de l’art contemporain très rapidement. Imaginée pour les aménagements de la place Saint Labert, son premier projet était une fontaine nommée eve 171 . Cette fontaine fut plébiscitée par la consultation populaire organisée par la Ville de Liège en 1995 mais jamais réalisée. Depuis, un prototype de cette sculpture a été exposé aux Brasseurs, en 2004, et au cinéma Sauvenière à Liège, en 2009. Son implantation définitive est prévue dans le quartier Sainte-Marguerite où cette sculpture de 6 mètres de diamètre tournera à l’instar des anciennes roues à aubes sur le cours de la Légia. Tournant par gravité grâce à la Légia, elle pourra produire l’énergie nécessaire à son propre éclairage. Nous pouvons voir ici que l’artiste utilise les moyens naturels mis a se disposition pour implanter son œuvre tout en ne laissant aucune empreinte écologique et respectueuse du cadre.


Enfin, une de ces œuvres les plus marquantes est recognise Palestine. Il s’agit d’une sculpture de la paix. Cette sculpture ne s’actionne pas comme celle de la space grâce à un horodateur mais bien grâce à une poignée de main , elle peut également être actionnée par un ‘’ clic ‘’ virtuel ‘’ signifiant que le surfeur, lui aussi, souhaiterait la paix. Ces œuvres non-consensuelle sensibilise la situation sur un problème qui est actuel et récurrent en Palestine mais lui demande également de réagir. Alain de Clerck califie son œuvre de ‘’ protition ‘’ et non de pétition et une ‘’protition’’ pour la paix. L’œuvre représente une lueur d’espoir et surtout de paix.. 

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