En débutant ma dernière année de secondaire, je n’avais encore jamais vu un quelconque objet d’art contemporain. Ce monde me semblait fort fermé, un peu marginal et assez élitiste. Les codes pour le comprendre m’étaient encore inconnus. Cette non-connaissance me maintenait hors de ce petit monde à part, car si ce que je voyais ne soulevait ni question ni réflexion ni prise de conscience, j’étais à coté de la plaque…
Tout au long de l’année j’ai découvert petit à petit les règles qui régissent le domaine du contemporain. J’ai appris à déchiffrer les messages cachés derrière les traits ou les montages. J’ai pu ainsi m’ouvrir aux réflexions, aux questionnements que suscite tout bon travail contemporain.
Je me suis aperçu que l’art contemporain n’est pas si insensé ou farfelu qu’il m’a paru. Les expériences qui en sortent font toujours appel à nos sentiments, notre vécu ou notre inconscient. Ce qui m’a paru être un monde fermé est en fait un monde plein de possibilité pour peu qu’on en connaisse les codes.
Mario Di Miceli
Tout au long de l’année j’ai découvert petit à petit les règles qui régissent le domaine du contemporain. J’ai appris à déchiffrer les messages cachés derrière les traits ou les montages. J’ai pu ainsi m’ouvrir aux réflexions, aux questionnements que suscite tout bon travail contemporain.
Je me suis aperçu que l’art contemporain n’est pas si insensé ou farfelu qu’il m’a paru. Les expériences qui en sortent font toujours appel à nos sentiments, notre vécu ou notre inconscient. Ce qui m’a paru être un monde fermé est en fait un monde plein de possibilité pour peu qu’on en connaisse les codes.
Mario Di Miceli
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