Cela fait 2 ans, que moi et ma classe d'arts d'expression apprenons ce
que c'est l'art contemporain. Au premier abord, on dit que c'est
bizarre, choquant, perturbant et qu'on ne comprend pas le but, le sens.
C'est normal! L'art contemporain veut nous bousculer de nos habitudes et
de nous faire réfléchir. Après plusieurs expositions, cette question
sait éclaircie et maintenant me laisse apprécier un peu plus l'oeuvre
mais aussi les messages concernant les injustices, les cruautés dans le
monde que les artistes font passer à travers leurs oeuvres.
Axelle Servais
mardi 10 décembre 2013
A la découverte de l'art contemporain!
L'art contemporain m'était vaguement familier avant de
commencer cette année à l'étudier en arts d'expression. Depuis,
nous avons appris à le cerner. Je suis vraiment contente d'avoir pu
entamer une culture contemporaine.
Chaque semaine nous avons découvert des approches de
l'art contemporain en tous genres. Entre cloaca, frituur et landarts
divers nous avons été servis !
Effectivement, l'art contemporain m'a vraiment appris à
réfléchir sur ce qui m'entoure et les combats des différents
artistes m'ont appris des horreurs ou injustices dont je n'étais
même pas au courant ! Par exemple, depuis que j'ai appris qu'on
arrachait les couilles des cochons sans même les anesthésier je ne
peux plus manger de jambon. Merci Wim Delvoye !
Sans blague, même si certaines vérités sont
difficiles à savoir je pense qu'il est indispensable que nous nous
mettions au courant et cela sera dorénavant associé à nos
découvertes artistiques contemporaines.
Mélanie Sigaud
Mélanie Sigaud
Que devient l'art contemporain?
Billet examen Noël - Anaëlle Mémurlin 6
Dans
l’article De l’art contemporain pour tous
de Valérie Duponchelle et Lena Lutaud, publié sur le figaro.fr, nous pouvons lire
que l’art contemporain est en pleine expansion. Tout le monde en raffole,
s’arrache les billets d’entrée des expositions où des artistes renommés
exposent, en bref nous rentrons dans l’âge d’or de l’art contemporain.
L’art
contemporain partout et pour tous : les directeurs des musées s’en
réjouissent (et leur portefeuilles aussi), mais est-ce réellement une bonne
chose ?
L’art
contemporain devient un véritable phénomène de mode, tout le monde s’y
intéresse ! Mais cette foule qui rempli actuellement les musées, qui se
précipite avec frénésie sur les guichets pour acheter leurs entrées,
s’intéresse-t-elle vraiment à
l’art ou se contente-t-elle de suivre un véritable phénomène de mode,
allant à diverses expositions parce que « ça fait bien » ?
L’art
contemporain est avant tout un art qui veut bousculer le spectateur, le faire
réagir. Il est rarement accessible au premier venu, il requiert de la
connaissance, de la pratique, … Alors que devons-nous comprendre face à ce
véritable engouement pour l’art de la part du grand public ? Plusieurs
questions viennent se poser à nous : serait-ce l’art contemporain qui s’ouvre
au grand public en se simplifiant et en s’adoucissant ? Est-ce que ces
familles, ces jeunes, ces adultes comprennent réellement les œuvres qu’ils
admirent ou se contentent-ils d’observer, de prendre quelques photos et de discuter de
choses diverses ?
La
société actuelle a développé, principalement par le biais des médias, un
véritable goût pour le sensationnel. Elle est habituée à être choquée, bousculée
et elle aime ça. Serait-ce donc besoin de sensations fortes qu’elle serait
venue combler pendant ces expositions ?
Le
marché de l’art gagne en puissance, les directeurs des
musées se remplissent les poches, le grand public passe un bon moment, mais que
pense les réels amateurs d’arts ? Que deviennent ceux qui visitent les
musées par goût, par passion, qui savent analyser et comprendre un œuvre ?
Ces véritables amateurs d’art continueront-ils à visiter des expositions s’ils
doivent se battre pour obtenir un ticket et côtoyer des gens qui ne partagent
pas la même passion et le même respect pour l’art contemporain qu’eux ?
Tout succès, toute gloire n’est pas toujours bénéfique, il faut savoir s’en méfier
si l’on ne veut pas devenir un simple adhérant à un phénomène de mode.
http://www.lefigaro.fr/culture/2010/10/15/03004-20101015ARTFIG00435-de-l-art-contemporain-pour-tous.php
Les taxidermistes : les artistes de demain.
Caroline Kilesse 6D
La taxidermie est l’art de préparer, d’empailler
et de monter des animaux vertébrés morts en leur conservant l’apparence de la
vie. Thomas Grünfeld est un expert en la matière.
« Les Misfits » de Thomas Grünfeld,
série commencée en 1990, sont des taxidermies surréalistes composées de
plusieurs parties animales comme une tête de fox-terrier, un corps de biche et
une queue de renard.
Le sentiment naissant à la vue d’un tel animal
est déroutant et me laisse perplexe. En effet, à première vue je me demande si
ce curieux spécimen est le résultat d’un accouplement surnaturel ou d’une
opération scientifique. Ici, l’animal est utilisé comme support de trucage.
L’artiste veut perturber son public et le tromper. En voyant la tête, on pense à
un animal proche du chien. Puis, en descendant, on se rend compte de la
supercherie que l’artiste a faite.
Ces œuvres sont l’exploitation d’animaux pour les
retransformer en œuvre d’art. Bien qu’ils soient morts, ces animaux me font
légèrement penser aux cochons mutilés de Wim Delvoye. L’exploitation de la
chaire animale à des fins artistiques me déroute, me dérange, m’angoisse et me
laisse perplexe.
Néanmoins, je comprends le désir de l’artiste de
choquer, questionner, et au final nous faire comprendre que ces animaux ne sont
que le reflet de notre société dans un futur proche ou lointain. En effet, ces
animaux hybrides, ces mutants domestiques nous mettent face à notre inéluctable
évolution.
Si on part du fait que les OGM (Organismes
Génétiquement Modifiés) sont utilisés jour après jour dans le monde à des fins
scientifiques, pourquoi ne pas s’attaquer la modification d’animaux, tout comme
le font Thomas Grünfeld, Wim Delvoye ou encore Damien Hirst, à des fins
purement artistiques ?
GINA PANE - ESCALADE
Anaelle Mémurlin
Lismont Marie
Courte Présentation :
http://www.theblogazine.com/2012/06/gina-pane-the-vulnerability-of-human-body/
Lismont Marie
Courte Présentation :
L’artiste
Gina
Pane est une artiste française d’origine italienne. Elle passe une partie de
son enfance en Italie, elle ne revient en France que pour réaliser ses études
aux Beaux-Arts de Paris. Elle conserve
de ses cours une fascination pour le corps.
Elle enseigne ensuite à l'école des Beaux-arts du Mans et dirige par la suite un atelier de
performance au centre Georges Pompidou. Elle meurt prématurément en 1990 des
suites d'une longue maladie.
Cette
artiste est l’une des principaux représentants du Body Art , la tendance
artistique caractérisée par la pratique de l'auto-mutilation et le sadomasochisme.
Déshabillage, frapper, blesser, salir,mutiler,… En travaillant à l’aide de sa
propre chair, elle a été en mesure de
montrer le sens du danger et de la douleur ainsi que la fragilité du corps
humain.
Gina
Pane distingue elle-même trois périodes dans l’évolution de ses œuvres :
Première
période (1968 – 1971).Grâce à ses actions corporelles, elle met en question la
relation de l’homme seul face à la nature : « Pierres déplacées » , « Terre
protégée » ou "Enfoncement d'un rayon de soleil". Ses performances se déroulent souvent dans
l'intimité.
Seconde
période (au cours des années 70) Ses performances ne se déroulent non plus en
privé mais en public. Son support du travail est l'espace-temps. De l'œuvre
d'art proprement dite il ne reste que la capture de moment précis durant son
action ainsi que l’objet utilisé lors de sa performance. Les actions
constituent la recherche d'un autre langage. Gina Pane bouleverse l'esthétisme
et donne une nouvelle image de la beauté.« Action Escalade non-anesthésiée, 26
juin 1971 » est l'une de ses premières actions réalisées au sein de cette
période ainsi que « Action sentimentale »
Troisième
période (fin des années 1970) :Les « Partitions ». Le rôle du corps et sa
relation au monde sont le sujet principal. Le langage utilisé dans ses actions est alors un travail de
création autonome. La représentation de la blessure est alors symbolique. Les «
Partitions » regroupent des photographies de ses précédentes blessures à l’aide
de divers objets. Dans les dernières « Partitions », les matériaux utilisés
sont plus le bois, le fer, le verre et
le cuivre.
L’œuvre
Titre : Action
Escalade non-anesthésiée
Support :Photographies
noir et blanc sur panneau en bois, acier doux
Taille :323 x 320 x 23
cm
Photographe : Françoise
Masson
Date : 26 juin 1971
Après
fixation de “l’objet-échelle” sur un pan de mur de l’atelier, déchaussée et
mains nues, Gina Pane escalade de haut en large toute sa surface. Des photos
seront prises durant la performance. L’escalade finie, ses mains ainsi que ses
pieds meurtris seront recouverts d’un bandage. Celui-ci lui servant
à panser ses blessures sera enfermé dans une petite vitrine avec la fiche
de son groupe sanguin, et exposé en même temps que les photos relatant la
performance ainsi que l’échelle
Ce que les spécialistes
nous disent de l’œuvre
(..) « Quant à l’échelle de L’Escalade
non anesthésiée (1971), que
Gina Pane a
comparée à l’escalade des américains au Vietnam, elle peut tout autant renvoyer
à
l’échelle utilisée pour décrocher le Christ crucifié, ou à l’épisode du « Songe
de Jacob »,
dont
la vision d’une échelle dressée entre terre et ciel, décrit dans le chapitre 28
de la Genèse,
marque
une forme d’espérance. Les éléments acérés qui la constituent rappellent
également le
rituel
des Vattienti de Nocera Terinese, ces flagellants calabrais qui, chaque année
au moment
de
la Pâques, rejouent la passion du Christ, et que Gualtiero Jacopetti et Paolo
Cavara, avaient
d’ailleurs
filmés et montré en 1962 dans le célèbre film Mondo Cane. L’analogie réside
dans
l’usage
des débris de verre, intégrés par Gina Pane sur les barreaux de son échelle et,
par les
Vattienti
dans l’outil (le « cardo ») avec lequel ils se lacèrent les cuisses lors de la
procession.
Cette
analogie peut laisser penser que Gina Pane réinvestit également des gestes, des
rituels et
des
objets qui appartiennent à une histoire collective, et que son usage de la lame
de rasoir ou
de
verre renvoie moins à des pratiques « masochistes » qu’à un fonds culturel
commun au
sein
duquel l’automutilation a une valeur symbolique et mémorielle. L’imagerie et
les
postures
ainsi puisées dans la culture chrétienne, loin d’être littéralement
réutilisées, se voient
détournées,
transposées, réinvesties dans l’actualité du moment, pour servir, de manière
réflexive,
un discours sociétal. Elles ne conservent pas moins, comme stratifiées, les
traces de
leurs origines
chrétiennes. »
Ce
que je me dis face à l’œuvre
Emotions : J’ou tout d’abord été répulsée
par cette œuvre puis ensuite intrigué par son côté ambigu. Je connaissais
Action sentimentale de Gina Pane et j’ai voulu en découvrir plus au sujet
d’Escalade.
Sensations : Je
pense que je ne saurais pas assister à la performance en live. La voir en photo
me suffit largement. En face des photographies et de l’échelle
j’aurais cependant surement envie de m’approcher par curiosité
Interrogations : Je
me demande tout d’abord comment elle réussit à supporter la douleur et pourquoi
avoir une volonté de souffrir. Ensuite je me demande comment a-t-elle trouvé ce
concept
Interprétation :
Pour moi
cette performance, sans m’être renseignée ferait référence à la dureté de
s’élever dans les niveaux de la vie sociale ainsi que de grandir.
Caractéristiques
De
forme
Couleur et
couleurs :
Le noir et blanc adouci l’œuvre sanglante de l’artiste mais la refroidi aussi
suite au manque de couleurs. En effet
nous n’apercevons pas la couleur du sang ainsi que la chaire meurtrie de
l’artiste. L’artiste joue aussi sur les
couleurs de son environnement. L’échelle noire
ressort sur le mur blanc, il y a une présence de contraste. L’artiste a
aussi accordé sa tenue, couleurs claires et foncées (Peut-être involontairement
) Les matières sont à l’éfigie de l’œuvre : Dures. L’artiste a choisi un
panneau de bois ainsi que de l’acier doux. L’acier, en harmonie avec les
couleurs, nous renvoie à une sensation de froideur. La taille de l’œuvre est aussi très
importante dans le but de marquer mais aussi suite au nombre important de
photographies s’y trouvant.
Prise de vue :
Les différentes
prises de vue forment une sorte d’histoire. Quasi chaque morcellement d’action
est vue d’un angle différent. Ce qui est très intéressant pour la personne
devant l’œuvre, chaque détail et ainsi abordé, nous avons une vue global mais
aussi détaillée. On peut remarquer que les captures sont soigneusement
choisies. Elles mettent en évidence les mains, les pieds ainsi que la posture
de l’artiste. Il y a aussi une
alternance entre des clichés verticaux et horizontaux. Les points de vue renforce la pénibilité et l’ampleur de l’escalade,
laissant prise à l’émotion et à l’imagination
Etape : On
retrouve ici aussi la présence d’étape. Il y a tout d’abord l’installation des
matériaux, ensuite vient le moment de la performance qui lui aussi est divisé
en étape. Elle monte tout d’abord puis se déplace littéralement puis
redescend,… Et ainsi de suite. Son but de d’ avoir occupé à un moment ou un autre tout l’espace de l’échelle.
Ensuite vient, la
« cicatrisation » comme dirait certains amateurs d’art. Elle recouvre
ses blessures. Puis l’exposition de sa pansement dans une vitrine ainsi que de
l’échelle et des photographies.
De
fond
Intemporelle :L’artiste nous montre son
envie de faire perdurer l’œuvre. En effet, elle expose le bandage, ainsi que
son groupe sanguin, à côté de l’échelle et de la photographie. Celle-ci veut
nous montrer que la souffrance perdure malgré tout. La souffrance laisse des
traces physique, mais aussi des traces morales, qui elles sont ineffaçables.
Que ce soit le public ou la performeuse, il est difficile d’oublier la
souffrance éprouvée ou vue.
Actualité :Gina Pane fait ici un
parrallèle avec l’actualité, en abordant le sujet de la guerre du Vietnam. Elle
nous montre par cette œuvre le total engagement physique et mental de l’artiste
pour réaliser son œuvre. Cet engagement
doit aussi être très pris à cœur lors du service pour sa patrie. Elle fait donc une sorte de lien entre l’engagement de l’artiste pour son art et
celui d’un militaire pour sa patrie. Elle nous la souffrance physique est
morales perçues par les soldats, la famille, les proches,..
Le
titre de l’œuvre
est tout à fait contradictoire mais cependant évocateur. Escalade non anesthésiée
met en avant nos souffrances intérieurs ainsi que notre capacité à la
supporter. Lors d’une anesthésie, nous ne ressentons rien, nous ne souffrons
pas,nous ne souvenons pas,… Hors le malheur et la souffrance vécue dans la
société ne sont pas indolores.
Contexte
L’œuvre
a été réalisée en collaboration avec la photographe Françoise Masson au sein de
l’atelier de Gina Pane. Gina Pane à
elle-même dessiné les plans utilisé à la construction de son œuvre. Aucun
subside n’a été demandé pour la réalisation de cette œuvre. L’artiste l’a
réalisée de manière quasi autonome dans le but d’aborder le thème de la montée
des Américains au Vietnam ainsi que la souffrance vécue.
Position
de l’artiste dans le champ
·
L’artiste a étudié et ensuite
enseigné aux Beaux Arts. Les Beaux- Arts
est une école réputée.
·
L’artiste est facilement
trouvable sur le net et notamment sur Wikipédia.
·
Le site « Youtube » connaît bien
cette artiste, il reprend plusieurs vidéos la concernant, aucune n’est postée
par elle. C’est souvent TheFROGGIESMEDIA.( Chaine youtube consacrée à l’art
contemporain).
àTous ces éléments défavorisent la
position de l’artiste au sein du champ autonome
·
L’artiste est notamment exposée
dans de grandes galeries d’art telle que la Galerie Stadler à Paris
·
La critique d’art Anne Tronche a
notamment écrit un livre sur elle.
·
Beaucoup d’article lui est
consacré dans des revues d’art contemporain
è Tous
ces éléments favorisent la position de l’artiste dans le champ autonome.
La ruine de Rouwette. ( Billet)
Diplômé de l’Académie des
Beaux-Arts de Liège, Fabian Rouwette concentre essentiellement son art sur des prises de vues architecturales ainsi que de
design intérieur. Il propose notamment ses services à des architectes désireux de
faire connaitre leurs travaux. L’artiste
porte une attention particulière à la qualité de ses photographies mettant en
avant les réalisations de ses clients. Ses
compétences dans les techniques digitales de montage ainsi que de retouche rendent son travail d’autant plus
minutieux.
Les œuvres exposées au sein de
l’espace Flux nous montrent différents bâtiments désaffectés réduis à leur simple rôle
d’espace. Ces vues intérieures dépouillées dont les traces de dégradation sont
bien visibles nous incitent
à nous mettre en question sur les différentes significations de la ruine :
Solitude, délaissement, temps,….
J’ai
énormément apprécié le travail de ce talentueux photographe abordant le « mystère » de la ruine.
Si pour lui celle-ci est un sujet anodin, il m’a beaucoup intrigué ! Je
retrouve dans une œuvre
un certain paradoxe. En effet ces lieux, dont le passé est public, étaient
énormément fréquentés. Hors ici on peut apercevoir qu’ils se retrouvent à l’abandon,
en ruine. D’autant plus, ils sont inclus dans notre environnement mais
« exclus » de la vie sociale. Plus personne n’y prête attention.
J’ai totalement adhéré avec la
volonté de l’artiste de ne pas dater ou identifier ces lieux. Sa priorité est
le rendu de l’image esthétiquement beau. Grâce à la liberté que l’artiste nous
« accorde » en ne posant pas des mots sur son œuvre, une question importante nous vient à l’esprit :
« Qu’est-ce qu’on voit ? »
Les Brasseurs
Nous
sommes allés visiter les brasseurs. Je n'y étais encore jamais
allée et je peux dire que je n'ai pas été déçue ! Des
étages et des étages de tableaux. Des artistes talentueux. Un thème
pour le moins d'actualité. En somme, un endroit à faire découvrir
à ses proches !
Quand
nous sommes arrivés, la galeriste était, on peut le dire, au
taquet ! Elle a abandonné tout ce qu'elle faisait pour venir
nous voir et nous expliquer le thème de l'exposition. J'ai été
très contente de ce dévouement. Il était clair qu'elle était
contente de partager son milieu artistique, peut-être même encore
plus de le faire découvrir à des jeunes. Dans tous les cas, je ne
m'attendais pas à un accueil si convivial et j'en suis tout à fait
ravie.
Le
thème de l'exposition était l'écologie et c'est un thème qui m'a
forcément plu, étant une grande « écolo » dans l'âme.
Nous avons eu l'occasion de voir les problèmes sous un angle
photographique ce qui était très intéressant, cela nous permettait
de réellement visualiser le problème.
Pour
conclure, je dirais que cette visite des brasseurs m'a vraiment
enthousiasmée et j'attends la suite avec impatience !
Mélanie Sigaud
Mélanie Sigaud
MAD musée... Un musée dont on est fou!
Nous
avons récemment visité le Musée d'Art Différencié. Ma première
réaction quand je suis arrivée là-bas ? « Mais je
connais cet endroit, j'allais au café avec ma mère quand j'étais
petite ! ». Effectivement le MAD est bien mieux connu par
le grand public pour son café que pour son musée... Heureusement,
grâce au cours d'arts d'expression nous avons eu l'occasion de
découvrir son côté musée. La salle d'exposition est beaucoup plus
petite que ce à quoi on pourrait s'attendre. L'exposition tient en
effet en une seule pièce, dans laquelle trente personnes seraient
les uns sur les autres. Pour le moment, deux artistes sont exposés.
Trois
énormes tableaux sur lesquels on ne cesse de découvrir de nouveaux
éléments du coté d'un artiste flamand et une multitude de tableaux
sur le thème des canards du coté de l'artiste autiste Dirk
Geffers... En résumé, de la qualité et des œuvres abordables !
Pour
conclure, je dirais que le MAD musée est un musée agréable et
accessible, qui m'a donné envie d'en savoir plus sur l'art
contemporain !
Mélanie Sigaud
Mélanie Sigaud
lundi 9 décembre 2013
Fiche Noël: Jospéphine Mecksper Anaëlle Mémurlin & Marie Lismont
Courte Présentation :
L’artiste
Joséphine
Meckseper est une artiste d’origine allemande qui vit à New York depuis 17 ans.
Cette artiste de 43 ans est une Américaine d’adoption. Elle a étudié à l'Université des Arts de Berlin à Berlin de 1986
à 1990, et a complété sa formation à l'Institut des Arts de Californie en 1992.
Dès les années
90, elle se fait remarquer en créant le Fat-Magazin, une parodie de presse à
sensation, une approche satyrique de l’art et de la banalité. Les travaux de
Joséphine Meckseper sont dans l’air du temps, celui de la communication. Ces
travaux multimédia ont pour thème la fragilité, la vulnérabilité et le courage,
les valeurs et les idéaux des mouvements démocratiques.
Son travail a été exposé dans des galeries et
musées importants, comme le Oldenbourg Kunstverein et Kunsthalle de Nuremberg
en Allemagne, le Museum fur Gegenwartskunst à Zurich en Suisse, le Whitney
Museum of American Art à New York, la Royal Academy de Londres, et la Biennale
de 2005 d'Art Contemporain de Lyon en France.
En 2007, une grande rétrospective de son
travail a été présentée au Musée des Arts de Stuttgart.
En plus des expositions réussies en solo :
chez Migros Museum für Gegenwartskunst à Zurich, Ausstellungshalle für Kunst
zeitgenössische à Münster en Allemagne, Indianapolis Museum of Art à
Indianapolis (toutes en 2009) et au MoMA à New York par exemple, elle a
également participé à de nombreuses expositions nationales et internationales,
y compris au groupe "Whitney Biennial 2010" de New York et «
Contempler le vide " des Solomon R. Guggenheim Museum à New York.
L’oeuvre
Titre: Manhattan Oil Project
Taille: 7,6m
Matériaux: Acier
Lieu: Times Square, The Last Lot, 46th Street
& 8th Avenue
Date: Le 5 Mars 2012 - 6 mai 2012
Présenté par:
Art Production Fund
Sponsor: Sotheby
Art
Production Fund est heureuse de présenter Manhattan Oil Project par Josephine
Meckseper, la deuxième installation de The Last Lot Project space, de la 46th
Street et 8th Avenue à New York. Manhattan Oil Project est compose de deux
sculptures cinétiques monumentales, chacune de 7,6m de haut. Ces sculptures
sont inspirées des pompes à pétrole de la moitié du 20ème siècle que l'artiste
découvert dans Electra, une ville autrefois célèbre pour être la capitale de la
Pumpjack du Texas. Chaque sculpture est entièrement motorisée pour simuler les
mouvements d'une pompe à pétrole de travail.
The Last Lot est un généreux don à court
terme de The Shubert Organization à l’Art Production Fund et fait partie du
programme artistique public de la Times Square Allaiance qui travaille pour
amener de l’art d’avant garde, pointu à Times Square. ( www.timessquarenyc.org )
Sources :
http://www.egodesign.ca/fr/article.php?article_id=213
Ce que l’artiste et les spécialistes me
disent de l’œuvre :
23 Questions for "Manhattan Oil
Project" Artist Josephine Meckseper :
(…)
The Manhattan Oil Project, votre nouvelle sculpture publique
réalisé avec le soutien du Fonds de production Art, dispose de deux appareils
de forage géant sur un terrain vacant à l'angle de la Huitième Avenue et 46th
Street. Comment ce projet est-il né?
The Art Production Fund est venu à travers ce
terrain de terre près de Times Square. Avec la Times Square Alliance, la
Fondation Shubert, et le soutien de Sotheby, l'APF a développé le programme
« Last Lot » et a invité trois artistes à réaliser des projets de
grande envergure.
Quels sont les défis en créant une grande sculpture publique
plutôt que de montrer le travail dans une galerie?
Pour réaliser ce projet, j’ai du effectuer un
voyage au Texas pour étudier de réelles pompes à pétrole avec l’aide de
plusieurs ingénieurs, un architecte, un atelier de métal dans le New Jersey et
une équipe de construction. C’est grâce au
soutien du Art Production Fund et de tous les autres organismes
concernés que la démarche a été très simple et passionnante. Lorsque nous avons
rencontré un problème pour brancher les sculptures à l’électricité, le pub
irlandais « Irish Playwright
Pub » d’à côté leur a généreusement permis de brancher les pompes à
pétrole sur leur ligne d'alimentation pendant toute la durée du projet.
Vos vitrines explorent les ramifications politiques de la culture
de consommation. "Manhattan Oil Project" traite spécifiquement de la
production et de la consommation du pétrole. Quelles sont les questions que
vous essayez de provoquer avec votre projet?
Je voulais démontrer la nature anachronique
de l'exploitation du pétrole et du gaz en prenant les pompes à pétrole hors
contexte (Texas, etc.) et en les confrontant à l'épicentre de la propagande
américaine du divertissement que Times Square représente. Dans ce domaine de
détournement et de mercantilisme, les sculptures deviennent la dure réalité
d'une culture qui est définie par son contrôle de l'approvisionnement des
ressources naturelles. La présence de la sculpture à Manhattan et Times Square
montre que la crise est maintenant dans notre arrière-cour, à quelques pâtés des
stations de recrutement militaire. Ici, simuler la folie des consommateurs devient
symptomatique d'une pathologie culturelle qui engendre des guerres pour le
pétrole et des dommages irréparables à l'environnement.
Le Manhattan Oil Project fait également référence aux grandes
sculptures cinétiques de Jean Tinguely, Alexander Calder, et Mark di Suvero.
Qu'avez-vous à dire sur ces artistes que vous jugez importants??
Je me suis intéressé à la façon dont Mark Di
Suvero de "Tour de la Paix" a donné la parole à l'opposition à la
guerre au Vietnam et en Irak, et "Joie De Vivre" à Zuccotti Parc est
devenu un point et le symbole pour le mouvement Occupy Wall Street. N même
temps, je pensais à la tour de Tatline, « Le Monument à la Troisième
Internationale» (1919-1920) et l'objectif des constructivistes d’industrialiser
et de fonctionnaliser l’art afin de rompre avec la production et la
consommation de l'art traditionnel. Les pièces du Manhattan Oil Project sont
construits d'après des dessins techniques de réelles pompes à pétrole, ils sont
dans la moyenne en taille (25 pieds de haut) et la forme. Le noir et le rouge
de la sécurité sont les couleurs de la pompe à pétrole standard.
(…)
Bill Bollinger.
http://www.blouinartinfo.com/news/story/800972/23-questions-for-manhattan-oil-project-artist-josephine-meckseper
Joséphine Meckseper Drills to New York's Dark
Center
Ce printemps, Joséphine Meckseper apporte la
quête pernicieuse de l'or noir à la cour de New-Yorkais . "Manhattan Oil
Project" la première incursion de l'artiste dans la sculpture publique
monumentale , s'ouvre le 5 mars à The Last Lot, un espace de projet à la 46e
Rue et la 8e Avenue administré par le Art Production Fund. La sculpture
cinétique se compose de deux chevalets de pompage de pétrole en acier grandeur
nature, basé sur le modèle des plates-formes de la moitié du 20e siècle que l'artiste
a trouvé dans le Texas .
«L'automne dernier, j'ai fait un voyage au
Texas pour voir comment les chevalets de pompage de pétrole étaient encore
utilisés", a déclaré Meckseper le soir avant que les fondations des sculptures
ne soient coulées. "Un grand nombre de pompes ne sont pas utilisées maintenant, donc ce que
j'ai vu dans le Texas était plus cimetière de chevalets des pompes à pétrole, comme
un monument de science-fiction dédié au passé."
"Oil Project Manhattan" est basé en
partie sur une exposition que Meckseper a créée en 2009 pour le Musée Migros à
Zurich , qui a présenté deux sculptures de pompe pétrolière rouge-et- noir ( Oil
Rig n ° 1 , Oil Rig # 2 ) . "Le contexte de ces sculptures , par
opposition à « Oil Project Manhattan , « était de savoir où les États-Unis
était arrivé dans les dernières années de l'administration Bush », dit
Meckseper . " Les chevalets de pompage fonctionnent comme un signifiant de
cette période particulière, et les raisons de la guerre qui a été combattu en
Irak : des ressources naturelles. "
Pour Meckseper , les plates-formes se
substituent à la quintessence d’Americana, référant à l'histoire économique et
culturelle spécifique qui encadre l'industrie pétrolière de l'Amérique. "
Avant de pétrole , l'idée de la richesse aux États-Unis n'était pas aussi
important. La richesse du pétrole a vraiment changé la texture de la culture en
Amérique . Et bien sûr, la même chose s'est produite au Moyen-Orient." Les
intrigues du grand film There Will Be
Blood ont proposé que la chute de l'Amérique commence avec un filet de
pétrole brute (et avec la lueur mauvaise de l'avarice dans les yeux des hommes)
La pièce de Meckseper s'inscrit dans ces
paraboles tout en alignant l'histoire de la consommation de pétrole de
l'Amérique avec une grande histoire de la mondialisation . Le pétrole - ici ,
sous la forme d’un pompes st utilisé comme une métaphore physique de la
mystification de l'économie mondiale . Les sculptures de Meckseper formaliser
les initiatives cachées du capitalisme, la réorientation de l'identité physique
de pétrole brut et ses conduits - au service des grandes concepts de pouvoir et
de contrôle .
Meckseper voit ses sculptures comme un
critique du capitalisme, et comme un appel aux armes en conformité avec la
nouvelle identité de la sculpture monumentale de Mark di Suvero Joie de Vivre
(1998 ) . «Dans l'échelle et la couleur, elles sont certainement un clin d'œil
à di Suvero», dit Meckseper . "Sa sculpture à Zuccotti Park est devenu un emblème
pour Occupy Wall Street, et je me suis intéressé à la sculpture publique
devenant un symbole de l'action politique . Je crois en ce potentiel de l'art .
"
Meckseper est connu pour créer des sculptures
appropriative qui séduisent avec le brillant, charme heureux des jouets des
produits de base dont elles sont issues. Quand elle propose des articles de
luxe, en les disposant sur des vitrines au fond miroitant - elle le fait pour
contester leur ubiquité. À cette fin , les chevalets de pompage de Meckseper
promettent d'être dans l'esprit de Times Square lui-même déconcertante
spectaculaire et amusant . «Il est extrêmement gratifiant de faire quelque
chose pour les personnes qui ne paient pas nécessairement attention à l'art»,
dit-elle. Comme de théâtrales coups de pied arrêtés , les sculptures se
comportent comme des accessoires pour l'ensemble de Midtown Manhattan ,
illustrant les machinations du pouvoir et de la force qui courent la ville.
" L'essentiel est qu'ils fonctionnent
comme un objet de mystère, quelque chose de réel et encore aussi
fantastique" dit Meckseper . «Ils ont l'air très réel, et techniquement,
ils pourraient pomper du pétrole . Ainsi, à première vue les gens vont dire
'Wow , maintenant nous cherchons du pétrole à New York ?"
by Aimee Walleston
http://www.artinamericamagazine.com/news-features/news/josephine-meckseper/
Résumé :
Les deux textes soulignent l’important
message « politique » que font passer les deux sculptures. Ils
expliquent également à quel point l’influence de Jean Tinguely, Alexander
Calder, et Mark di Suvero a été importante pour Joséphine pour trouver
l’inspiration et les idées nécessaires à la création de ce projet. Dans ces
deux articles, l’artiste souligne bien qu’elle s’est énormément documentée pour
ce projet, allant même jusqu’à la source, au Texas, avec des spécialistes afin
de rester fidèle aux véritables pompes à pétrole du milieu du 20ème
siècle.
Ce que je me dis face à l’œuvre :
Emotions :
J’ai tout d’abord été intriguée en voyant ces
sculptures géantes se dressés en plein Times Square. Je ne pensais pas que
l’art « politique » pouvait être exposé de cette manière à New York.
Sensations :
Si je pouvais me tenir tout près de ces
pompes à pétrole, j’aurais probablement envie de m’en approcher pour comparer
ma taille à la leur. Je voudrais probablement aussi les toucher pour voir si
elles sont aussi lisses que ce qu’elles paraissent être.
Interrogations :
Je me demande pourquoi est-ce que Joséphine a
décidé d’exposer ces sculptures en plein New York et pas dans une ancienne
ville pétrolière par exemple.
Interprétation :
Pour moi ces sculptures font référence aux
différentes crises pétrolières, autant à
celles qui ont déjà eu lieu, que la course au pétrole qui est en train de se
passer (augmentation des prix, etc.)
Ce que l’œuvre me dit :
Forme :
1.
Taille : La taille (presque 8m) des sculptures les rende très imposantes.
Il est impossible de marcher dans la rue sans les voir. Cette grandeur ne fait
que rendre le message qu’elles veulent faire passer plus important, frappant,
voire écrasant.
2.
Couleur : Les sculptures ne sont peintes qu’en deux couleurs. De petites
parties sont peintes en un rouge vif, tandis que le corps des machines est
peint en un noir profond. Ces deux couleurs contrastent énormément entre elles,
mais également avec les hauts buildings et les trottoirs gris, avec le terrain
vague poussiéreux dans lequel elles se trouvent. Leurs couleurs sont presque
agressives tant elles dénotent dans l’environnement terne, maussade et triste
de la ville. Elles rendent également les œuvres immanquables, il est totalement
impossible de marcher à côté d’elles s’en les voir, nos yeux seraient forcément
attirés par ces couleurs criardes.
3.
Matière : L’acier lisse qui compose les cultures, leur donne un côté
parfait. En effet, quand on contemple l’œuvre, on a l’impression que la surface
des machines est dénuée de tout défaut alors qu’il s’agit tout de même de
machines de chantier.
Fond :
1.
Couleurs : Il serait difficile d’imaginer que le choix des couleurs de
Joséphine Meckseper soit totalement hasardeux. Le noir a principalement des
significations négatives, comme la peur, l’angoisse, l’inconnu, la mort, la
perte et le vide et le rouge représente des émotions différentes et contradictoires,
mais si on s’intéresse à ses significations plus « négatives » il
représente le pouvoir, la puissance et le combat. Toutes ces émotions
définissent parfaitement la crise pétrolière. Le pouvoir des politiques, la
puissance des pays qui possède le pétrole ainsi les nombreux combat qu’il a
déjà et continue à causer.
2.
Forme : La grandeur, le côté très propre et très lisse, presque
esthétique des pompes nous ramène aux sujets des entreprises américaines, de la
richesse et de la consommation qui sont des sujets au cœur de toutes les œuvres
de Joséphine Meckseper.
3.
Composition : Il est intéressant de constater que Meckseper ait choisi de
construire ses sculptures en acier, car l’acier connu pour être très solide
(d’où l’expression « un moral d’acier ») ce qui renforce le pouvoir
des entreprises américaines, le force et leur côté presque indestructible qui
en découle.
Contexte :
1.
Art Production Fund : L’œuvre Manhattan Oil Project a été réalisé avec l’organisme Art
Production Fund qui est une organisation lucrative dédiée à aider et produire
des projets d’art public ambitieux, qui cherchent de nouveaux publics et à
développer leur conscience à travers l’art contemporain.
2.
Référence : Les sculptures de pompe à pétrole font référence aux grandes
sculptures cinétiques de Jean Tinguely, Alexander Calder, et Mark Di Suvero
dont les œuvres ont grandement inspiré l’artiste allemande pour la réalisation
de ce projet.
3.
Travail : Pour réaliser ce projet, Meckseper a du effectuer un voyage au
Texas pour étudier de réelles pompes à pétrole avec l’aide de plusieurs
ingénieurs, un architecte, un atelier de métal dans le New Jersey et une équipe
de construction. C’est grâce au soutien
du Art Production Fund et de tous les autres organismes concernés que la
démarche a été très simple et passionnante. Lorsque l’artiste et son équipe ont
rencontré un problème pour brancher les sculptures à l’électricité, le pub
irlandais « Irish Playwright Pub »
d’à côté leur a généreusement permis de brancher les pompes à pétrole sur leur
ligne d'alimentation pendant toute la durée du projet.
Champs Culturels :
CCD+
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CCD-
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CCA+
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CCA-
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L'artiste
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Vogue a écrit un article sur Joséphine Meckseper
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Elle a étudié l’art à l’université des Arts de
Berlin
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Toutes ses œuvres dénoncent la politique, la
société de consommation en se cachant derrière une apparence très esthétique
|
Elle est rédactrice du Fat-Magazin, une parodie de presse
à sensation, une approche satyrique de l’art et de la banalité.
|
Lieux de diffusion
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Ses œuvres sont exposées aux Palais des
Beaux-Arts à Paris.
|
Ses œuvres ont déjà été exposées aux MoMA de New
York.
|
A exposé dans la
gallerie Neuer Aachener Kunstverein, Aachen,
Germany
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Ses œuvres ont été exposées dans plusieurs musées
spécialement dédiés à l’art contemporain comme : Nottingham
Contemporary en Angleterre et le Contemporary Art Gallery à Vacouver.
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Médias
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Ses œuvres et sa biographie sont repris sur des
sites extrêmement connus, tel que « wikipedia ».
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Le site « Youtube » connaît bien cette
artiste, il reprend plusieurs vidéos la concernant, mais quasiment toutes ont
été postées par des galeries ou des magasine d’art.
|
Des articles la concernant ont été publiés dans
la magazine spécialement dédié à l’art, comme :
« BlouinArtInfo », « Art in America magazine »
|
Arte a écrit un article sur Joséphine Meckseper
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Œuvres
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Ses œuvres ont été exposées dans de très grands
musées publics et sont très esthétiques et donc, accessibles à tous (Palais
des Beaux-Arts, etc.)
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Elle tente d’amener l’art à ceux qui ne s’y
intéressent pas spécialement (ses sculptures en plein Manhattan)
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Ses œuvres (parfois choquantes) transmettent
toujours un message critiquant la politique et la société.
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Ses œuvres sont toujours esthétiques au premier
abord, c’est quand on y regarde de plus près on voit que quelque chose
cloche, dérange. (Mannequin sans bras ou portant un Kéfié pour dénoncer la
guerre en Iraq)
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Public
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Public de masses car ses œuvres sont toujours
très esthétiques
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Les amateurs de son travail doivent connaître les
règles de l'art contemporain pour apprécier la majorité de son travail
artistique.
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Public désirant être bousculer par les messages
des œuvres qu’ils contemplent
|
Le public n’a pas besoin d’être connaisseur pour
comprendre le message que l’artiste veut faire passer à travers ses œuvres.
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