Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain ! Art contemporain !
Ces deux mots résonnent dans ma tête depuis quelques temps, le temps de m’habituer... ce qui n’est pas chose facile ! Cela demande un travail de réflexion. Il faut se retourner les méninges dans tous les sens afin de comprendre l’idée des œuvres qui ont défilé sous mes yeuxdepuis septembre.
Lors des précédentes expositions, tout s’entrechoquait... C’était comme si, à chaque fois, le navire rencontrait un iceberg. A un moment, il y a eu une tempête me faisant chavirer. Je me suis donc retrouvée au milieu de l’océan. Je nageais, je surnageais, je tentais de ne pas couler. Heureusement, ma prof d’arts d’expression, Madame Guérisse, m’a lancé une bouée de sauvetage. Elle m’a convaincue que c’est en côtoyant des expositions d’art contemporain que l’on arrivait à trouver ses repères.
Cette fois-ci, lors de l’exposition « Au volant » d’Honoré d’O, je n’ai pas lâché ma bouée. Cela a eu des conséquences plutôt positives. En effet, le déclic s’est fait : l’art contemporain peut être à la fois ludique et conceptuel. J’ai été complètement fascinée par le travail de cet artiste, notamment avec l’œuvre « bENGEL ». Il s’agissait d’un angelot composé d’ouate et d’éléments de la vie quotidienne. L’explication de Jean-Michel Botquin était passionnante et m’a aidée à approcher cette étrange sculpture.
Bref, je crois que là, je suis parée pour m’aventurer à nouveau dans l’océan . Les icebergs ont disparu, mais l’eau est encore un peu froide. Je ne vais pas crier haut et fort que je suis devenue complètement fan de l’art contemporain. Non, mais je commence petit à petit à me sentir comme un poisson dans la mer!
Catherine Goffard
Ces deux mots résonnent dans ma tête depuis quelques temps, le temps de m’habituer... ce qui n’est pas chose facile ! Cela demande un travail de réflexion. Il faut se retourner les méninges dans tous les sens afin de comprendre l’idée des œuvres qui ont défilé sous mes yeuxdepuis septembre.
Lors des précédentes expositions, tout s’entrechoquait... C’était comme si, à chaque fois, le navire rencontrait un iceberg. A un moment, il y a eu une tempête me faisant chavirer. Je me suis donc retrouvée au milieu de l’océan. Je nageais, je surnageais, je tentais de ne pas couler. Heureusement, ma prof d’arts d’expression, Madame Guérisse, m’a lancé une bouée de sauvetage. Elle m’a convaincue que c’est en côtoyant des expositions d’art contemporain que l’on arrivait à trouver ses repères.
Cette fois-ci, lors de l’exposition « Au volant » d’Honoré d’O, je n’ai pas lâché ma bouée. Cela a eu des conséquences plutôt positives. En effet, le déclic s’est fait : l’art contemporain peut être à la fois ludique et conceptuel. J’ai été complètement fascinée par le travail de cet artiste, notamment avec l’œuvre « bENGEL ». Il s’agissait d’un angelot composé d’ouate et d’éléments de la vie quotidienne. L’explication de Jean-Michel Botquin était passionnante et m’a aidée à approcher cette étrange sculpture.
Bref, je crois que là, je suis parée pour m’aventurer à nouveau dans l’océan . Les icebergs ont disparu, mais l’eau est encore un peu froide. Je ne vais pas crier haut et fort que je suis devenue complètement fan de l’art contemporain. Non, mais je commence petit à petit à me sentir comme un poisson dans la mer!
Catherine Goffard
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