Jeudi dernier, nous avons visité la dernière exposition en date à la galerie Nadja Vilenne, présentant le travail d’Honoré d’O. La première visite dans cette galerie m’avait laissée perplexe… C’est donc avec appréhension que j’abordais une nouvelle confrontation avec ce monde de l’art contemporain.
Pourtant, dès que je suis entrée dans la salle, j’ai été subjuguée par le contraste des murs blancs avec les folles représentations d’Honoré d’ O. En effet, il nous présente là autant de couleurs que de matériaux, autant d’idées folles que d’objets ordinaires.
Seulement, sans les explications du galeriste, ces installations seraient-elles condamnées à subjuguer tout en restant incomprises ? Cela reste ma crainte, car une fois guidés, tout s’emboîte (et ressort, malicieusement comme dans les boîtes d’Honoré d’O) mais sinon ?
Or, c’est ce genre d’expérience qui nous permet de nous enrichir et de nous permettre de nous aventurer plus avant dans ce monde mystérieux de l’art contemporain.
Chloé Piron
Pourtant, dès que je suis entrée dans la salle, j’ai été subjuguée par le contraste des murs blancs avec les folles représentations d’Honoré d’ O. En effet, il nous présente là autant de couleurs que de matériaux, autant d’idées folles que d’objets ordinaires.
Seulement, sans les explications du galeriste, ces installations seraient-elles condamnées à subjuguer tout en restant incomprises ? Cela reste ma crainte, car une fois guidés, tout s’emboîte (et ressort, malicieusement comme dans les boîtes d’Honoré d’O) mais sinon ?
Or, c’est ce genre d’expérience qui nous permet de nous enrichir et de nous permettre de nous aventurer plus avant dans ce monde mystérieux de l’art contemporain.
Chloé Piron
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