Mathilde Simon, 6A
Horror 13, par Steve Schepens, exposé à la galerie Van de Weghe
Voici tout d’abord une brève présentation de ce jeune artiste, qui est un artiste interprète et performeur qui travaille dans les disciplines du spectacle, photographie, vidéo et le visuel, avec l’utilisation du dessin, des installations, des techniques mixtes, des objets, et des photos.
Chaque titre de cet artiste est Horror, suivi d’un numéro. Je pense que c’est très révélateur de ce qu’il est.
Ce que l’on voit dans la plupart de ses œuvres, ce sont des genres de barrières. Même si toutes ne sont pas explicitement peintes ou visibles pour l’œil car plutôt abstraites, elles n’engagent pas au passage. Le galeriste disait lui-même que les gens qui venaient dans sa galerie ne passaient pas de l’autre côté de la barrière, alors que rien n’en interdisait l’accès.
Ce qui me fait dire que les barrières ont une signification ancrée dans la tête de chacun. On ne les traverse pas car depuis tout petit, on nous dit de ne pas franchir les frontières.
L’artiste fait un travail très intéressant dessus, et celui que j’ai choisi, c’est celui-là. Je vais tenter de le comprendre un peu mieux.
Il s’agit ici d’une barrière faite en bois, elle est en forme de mines, comme celles qu’on utilisait durant la guerre. Donc, en plus de signaler un empêchement de passage, elle signale que des représailles pourraient découler du passage de l’autre côté.
Dans l’inconscient de chacun se trouve aussi l’idée toute faite que la barrière est infranchissable. La question est alors, que veut dire Schepens en créant des barrières ? Nous montrer que si, on peut franchir les barrières, tout en sachant où sont nos limites ?
Nous avons donc une réflexion intéressante sur les limites. Où sont-elles ? Qui nous les met ? Est-ce nous ? Mais une fois que nous sommes assez matures, ne pouvons-nous pas nous les fixer nous-mêmes ?
Je pense que oui, le tout est de ne pas se perdre derrière la barrière…
Horror 13, par Steve Schepens, exposé à la galerie Van de Weghe
Voici tout d’abord une brève présentation de ce jeune artiste, qui est un artiste interprète et performeur qui travaille dans les disciplines du spectacle, photographie, vidéo et le visuel, avec l’utilisation du dessin, des installations, des techniques mixtes, des objets, et des photos.
Chaque titre de cet artiste est Horror, suivi d’un numéro. Je pense que c’est très révélateur de ce qu’il est.
Ce que l’on voit dans la plupart de ses œuvres, ce sont des genres de barrières. Même si toutes ne sont pas explicitement peintes ou visibles pour l’œil car plutôt abstraites, elles n’engagent pas au passage. Le galeriste disait lui-même que les gens qui venaient dans sa galerie ne passaient pas de l’autre côté de la barrière, alors que rien n’en interdisait l’accès.
Ce qui me fait dire que les barrières ont une signification ancrée dans la tête de chacun. On ne les traverse pas car depuis tout petit, on nous dit de ne pas franchir les frontières.
L’artiste fait un travail très intéressant dessus, et celui que j’ai choisi, c’est celui-là. Je vais tenter de le comprendre un peu mieux.
Il s’agit ici d’une barrière faite en bois, elle est en forme de mines, comme celles qu’on utilisait durant la guerre. Donc, en plus de signaler un empêchement de passage, elle signale que des représailles pourraient découler du passage de l’autre côté.
Dans l’inconscient de chacun se trouve aussi l’idée toute faite que la barrière est infranchissable. La question est alors, que veut dire Schepens en créant des barrières ? Nous montrer que si, on peut franchir les barrières, tout en sachant où sont nos limites ?
Nous avons donc une réflexion intéressante sur les limites. Où sont-elles ? Qui nous les met ? Est-ce nous ? Mais une fois que nous sommes assez matures, ne pouvons-nous pas nous les fixer nous-mêmes ?
Je pense que oui, le tout est de ne pas se perdre derrière la barrière…
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