Mathilde Simon 6A
Hommage aan Jacques Mesrine (buste), par Jan Fabre, 2008, collection privée en Belgique
Ce qu’il faut savoir avant tout, c’est que Fabre était passionné par Mesrine, parce qu’il transgressait les règles mises en place par la société, parce qu’il était libre à sa manière et que au fond, tout le monde a envie d’être révolutionnaire et de pouvoir faire ce qu’il veut. Mesrine ne se souciait de rien, sinon de sa liberté.
Ainsi, Fabre a fait plusieurs performances artistiques, qui parlaient de Mesrine et de sa vie entière. On peut voir ça comme des performances biographiques.
Il a aussi réalisé cette œuvre que je vais tenter de comprendre un peu mieux.
Voici un buste, représentant probablement Jacques Mesrine, le célèbre bandit, qui dévalisait les banques. Il était surnommé l’homme aux mille visages. C’est sans doute pourquoi Jan Fabre a décidé de le représenter avec plusieurs faces, plusieurs profils.
Sur un profil, il tire la langue, peut être un moyen de montrer que Mesrine se moquait de tout. C’est -un «Va-Te-Faire-Voir » à la société entière. Peut être qu’aussi Fabre aurait voulu faire ça, tirer la langue à tout, un profil autobiographique ? On peut en effet trouver des ressemblances entre ces deux personnages. Jan Fabre a écrit un ouvrage, « Art kept me out of jail ». Cela veut dire pour moi que s’il n’avait pas pu réaliser ses œuvres, il aurait fini comme Mesrine. Il s’identifie à lui, et en lui rendant hommage, il le prend comme modèle de vie.
Pour ma part, ce que je vois dans cette œuvre, c’est qu’une personne peut en cacher d’autres. Par exemple, une personne n’a pas qu’une seule personnalité. On n’est pas les mêmes devant tout le monde.
Ca me fait penser à quelqu’un de schizophrène peut être. Quelqu’un qui ne sait pas vraiment qui il est. On peut être plusieurs choses à la fois, sans vraiment s’en rendre compte.
En conclusion, on peut être qui on décide d’être, mais assumer le fait qu’on cache plusieurs facettes de notre personnalité en nous.
Hommage aan Jacques Mesrine (buste), par Jan Fabre, 2008, collection privée en Belgique
Ce qu’il faut savoir avant tout, c’est que Fabre était passionné par Mesrine, parce qu’il transgressait les règles mises en place par la société, parce qu’il était libre à sa manière et que au fond, tout le monde a envie d’être révolutionnaire et de pouvoir faire ce qu’il veut. Mesrine ne se souciait de rien, sinon de sa liberté.
Ainsi, Fabre a fait plusieurs performances artistiques, qui parlaient de Mesrine et de sa vie entière. On peut voir ça comme des performances biographiques.
Il a aussi réalisé cette œuvre que je vais tenter de comprendre un peu mieux.
Voici un buste, représentant probablement Jacques Mesrine, le célèbre bandit, qui dévalisait les banques. Il était surnommé l’homme aux mille visages. C’est sans doute pourquoi Jan Fabre a décidé de le représenter avec plusieurs faces, plusieurs profils.
Sur un profil, il tire la langue, peut être un moyen de montrer que Mesrine se moquait de tout. C’est -un «Va-Te-Faire-Voir » à la société entière. Peut être qu’aussi Fabre aurait voulu faire ça, tirer la langue à tout, un profil autobiographique ? On peut en effet trouver des ressemblances entre ces deux personnages. Jan Fabre a écrit un ouvrage, « Art kept me out of jail ». Cela veut dire pour moi que s’il n’avait pas pu réaliser ses œuvres, il aurait fini comme Mesrine. Il s’identifie à lui, et en lui rendant hommage, il le prend comme modèle de vie.
Pour ma part, ce que je vois dans cette œuvre, c’est qu’une personne peut en cacher d’autres. Par exemple, une personne n’a pas qu’une seule personnalité. On n’est pas les mêmes devant tout le monde.
Ca me fait penser à quelqu’un de schizophrène peut être. Quelqu’un qui ne sait pas vraiment qui il est. On peut être plusieurs choses à la fois, sans vraiment s’en rendre compte.
En conclusion, on peut être qui on décide d’être, mais assumer le fait qu’on cache plusieurs facettes de notre personnalité en nous.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire