Catherine Delmotte, 6A
Cette première exposition d’art contemporain m’a posé question. Que voyons-nous, que nous est-il donné à voir ? La question, qu’elle soit formulée de l’une ou de l’autre façon suggère l’échange entre l’artiste et le spectateur. Lorsque je suis rentrée dans la galerie Nadja Vilenne, je pensais que les rideaux, par exemple, étaient mis là par simple effet décoratif. Je pensais également que le projecteur attendait que quelqu’un l’allume… ou encore que les œilletons étaient du bazar déposé par le galeriste… Mais petit à petit, mon esprit a commencé à s’ouvrir aux nouvelles propositions… lorsque nous avons entendu les explications et ensuite que nous sommes allé à l’étage, j’ai compris que l’art contemporain nous faisais réfléchir, de la même façon que le cinéma d’auteur nous avais peut être posé des questions, l’année dernière, lorsque nous avons pu le découvrir. Sushan Kinoshita aborde les défis sociaux, politiques et environnementaux, le développement urbain excessif et l’épuisement progressif des réserves naturelles au travers des ses œuvres. Elle a produit des ballots noirs de diverses tailles avec tout les résidus de montage d’exposition, récolté et entassé des objets de rebut, des déchets de toutes sortes, ce qui a été abandonné, qui n’a plus d’utilité. Nous ne voyons pas ce que ces ballots contiennent ; et sans doute sommes-nous informé de ce qui les constitue. C’est dans cette idée que se situe, entre ce que nous voyons et ce qui nous est donné à voir, ou ne pas voir, la richesse de sens multiples de l’œuvre.
Cette première exposition d’art contemporain m’a posé question. Que voyons-nous, que nous est-il donné à voir ? La question, qu’elle soit formulée de l’une ou de l’autre façon suggère l’échange entre l’artiste et le spectateur. Lorsque je suis rentrée dans la galerie Nadja Vilenne, je pensais que les rideaux, par exemple, étaient mis là par simple effet décoratif. Je pensais également que le projecteur attendait que quelqu’un l’allume… ou encore que les œilletons étaient du bazar déposé par le galeriste… Mais petit à petit, mon esprit a commencé à s’ouvrir aux nouvelles propositions… lorsque nous avons entendu les explications et ensuite que nous sommes allé à l’étage, j’ai compris que l’art contemporain nous faisais réfléchir, de la même façon que le cinéma d’auteur nous avais peut être posé des questions, l’année dernière, lorsque nous avons pu le découvrir. Sushan Kinoshita aborde les défis sociaux, politiques et environnementaux, le développement urbain excessif et l’épuisement progressif des réserves naturelles au travers des ses œuvres. Elle a produit des ballots noirs de diverses tailles avec tout les résidus de montage d’exposition, récolté et entassé des objets de rebut, des déchets de toutes sortes, ce qui a été abandonné, qui n’a plus d’utilité. Nous ne voyons pas ce que ces ballots contiennent ; et sans doute sommes-nous informé de ce qui les constitue. C’est dans cette idée que se situe, entre ce que nous voyons et ce qui nous est donné à voir, ou ne pas voir, la richesse de sens multiples de l’œuvre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire